Poésie pour certain, m**** pour d'autre

Bon voilà deux "poème", je suis pas un pro, et c'est mes premier.
Critiquez, écrassez, brulez, tuez l'admin si vous voulez, mais ne me tappez pas dessus (si vous plaît).
Je l'ai déjà mis sur le warfo, avant que je ne voyent cette partie

La bannie

Froid est son coeur
Noir est son âme
Tristes sont ses pleures
Belle est cette femme

Ses formes fines
Vestiges d'un passé révolu
Ne seront plus
Car arrachez de leur racines

Ses forces sont sur le déclin
Car nul n'est enclin
A lui apporter
De quoi gouter

Torturé par un esprit malin
Seule pour lutter contre la faim
Déjà avec la nature elle fait corps
Car rien ne l'attend plus que la mort


La guerre

Considéré par certain comme un jeu
Cela même qui reste chez eux
Laissant les autres défendre leur enjeu
Cela même que l'on fit preux

Depuis l'aube de l'humanité
Bon nombres ont trépassé
Du maniement des épées
Au tirs dense des arquebusiers

Pourtant frère
Quittant leur confortable chaumière
Pour rejoindre leur père
Partient seul à la guerre

Voilà, ils ont été écrit le soir après un reportage sur la guerre = état qui fait peur = esprit qui marce pas bien =

tuez l'admin ! euh eum, Arckal, tu veux me tuer ? bon, sinon tes poèmes sont pas mal du tout je trouve.

Il y a beaucoup de bonnes idées, c'est encore à paufiné mais c'est vraiment un bon début même si certaines choses sont à changées.

Merçi
Je sais que j'ai encore des truc à refaire, mais c'est un début.
Sinon, j'en ai un autre.
Mille excuse pour l'orthaugrafe:face:

Le déchu

Accusé à tort
D'avoir commis trop de mort
Désigné coupable
Avant même de trouver une raison valable

Trahis par les siens
Contre un peu de pain
Traqué par ses bourreaux
Préssé de voir sa tête sur le billot

Condamnait, traquait, abandonnait
Seule avec la rosée du matin
Personne ne le reconnait
M^me de part son nez aquilin

Pourtant, lui demande t-on
"Ne serez ce tu pas le déchu qui arpentait le paradis en enfer
-D'un matin gracieux, du sombres soleil je fut déposédé, aussi je ne puis vous promettre d'être bon
-Qu'allez vous faire
-Je suit la clarté de mon ombre, venez, mais parlons bas"
Ainsi en de rare occasion, il pût se délectait d'autre chose que du rat

Raconte t-on la fin
Déposédé, il est devenu nain
Sauf mais petit
Tout n'est pas encore fini

Bon, c'est pas du grand art, mais...

mais ça reste trés correcte !

je prefere ton avatar que tes poemes